Youri Gagarine (Le premier doute)

Publié le par Bernard Monnier

 





Youri Gagarine 

(Le premier doute) 




C’est le grand événement de l’année.  Il est soviétique.  Il a 28 ans.  Il s’appelle Youri Gagarine.  Dans sa capsule Vostok 1,  il vient d’effectuer le premier tour de la planète en moins de deux heures en condition de vol spatial. 



L’homme qui a  vu Youri
. 
À la faveur d’une visite en France,  Youri Gagarine sera invité dans une commune limitrophe de Paris.  Ivry sur Seine pour être précis.  À l’époque,  le mot :  « banlieue » n’est pas encore péjoratif. 
Dans cette municipalité,  c’est l’événement.  Pour la circonstance,  le gymnase municipal est aménagé en salle de conférence.  C’est un grand jour. 

J’ai vu Youri !  Ce qui frappe immédiatement,  et ce que je retiens encore aujourd’hui,  c’est sa petite taille.  Sous la casquette démesurée de l’armée soviétique,  question ridicule,  c’est limite ! 

De cette rencontre, il me restera une impression déconfite.  Dans ma petite tête de môme de l’époque,  j’imaginais Gagarine comme un homme important,  occupé en permanence à des tâches d’intérêt supérieur.  Et non pas,  un phénomène de foire que l’on expose à la curiosité du public. 
Aujourd’hui,  je me souviens encore,  que dans ma petite tête,  un point d’interrogation s’est installé. 


Je suis poursuivi par la capsule Vostok 1. 
Lors du démantèlement de l’Union Soviétique,  les éléments de la conquête spatiale soviétique seront disséminés un peu partout dans le monde.  Vostok 1 va atterrir à Vitry sur Seine.  La capsule Vostok est exposée,  bien en évidence,  sur une place près de chez moi. 


Vostok 1 est une petite sphère calculée au plus juste.  Une personne de corpulence moyenne ne peut y pénétrer.  C’est sans espoir ! 
L’intérieur de la capsule est vide d’instruments de commandes.  Vostok 1 fait plutôt penser à un cercueil sphérique dans lequel,  Gagarine n’était qu’une entité.  Ce que dans un autre domaine,  on nomme péjorativement :  « Un sac de sable ». 

Gagarine devait avoir l’impression d’être assis dans un tambour de lave linge.  Question gravité zéro,  c’était nul !  Et,  il était préférable de ne pas regarder par le hublot. 

Après son tour de planète en moins de deux heures,  Gagarine a du être heureux de revenir en vie sur le plancher des vaches.  On imagine facilement qu’il n’a pas réclamé à faire des tours gratuits supplémentaires. 


Le point d’interrogation ? 
Pour une pareille démonstration,  était-t-il nécessaire que Gagarine soit réellement dans le Vostok ?  La particularité de ce type d’exploit est qu’il n’existe jamais aucune preuve juridiquement recevable. 
Ces exploits ne reposent que sur l’imaginaire des gens programmés pour croire.  (L’imaginaire fertile des gens maintenus dans l’ignorance.) 


Les témoins sont partiaux !  De plus,  en la circonstance,  on ne peut accuser les Soviétiques d’avoir trafiqué les images.  Des images,  il n’y en a pas eu lors du vol par lui-même.  (C’était secret !) 
Les Soviets se sont contentés de nous raconter l’histoire d’un mec (petit).  Bref,  l’histoire d’un petit mec qui a réussi après s’être engagé dans l’armée soviétique. 

En réalité,  les Soviétiques n’avaient pas de soucis à se faire.  Ils étaient assurés que,  par avance,  les cloches américaines sonneraient de la même tonalité.  En effet,  les Américains avaient le besoin impérieux du catalyseur Gagarine pour,  eux aussi,  se lancer à leur tour,  dans leur propre « grand cinéma ». 

Et dans le scénario,  ce qui importait avant tout,  c’est que Gagarine soit vivant. 

En 1961, Gagarine est convaincu de servire l’Union soviétique.  Il va rapidement s’apercevoir qu’il a fait le jeu des Américains. 


Sa fin tragique en 1968 
Un an avant la « marche sur la Lune » des Américains,  l’éternelle question :  Est-ce un accident ?  Est-ce un assassinat ?  Est-ce un suicide ? 

 

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Un rare travail intéressant sur Gagarine 

http://www.angelfire.com/moon2/xpascal/MoonHoax/Gagarin/GagarinF.HTM 




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La parole aux intarissables pince-sans-rire. 
http://mondehypocrite.midiblogs.com/media/01/00/ed9492aa873bbecb85925f78171a8a08.doc 



Un intellectuel,  c’est un mec. … Il est capable d’expliquer de long,  en large,  de haut et de travers,  comment la machine elle marche !  … Y-a pas de machine.  Le mec ! 

- « Dis papa !  C’est bien payé,  le métier d’intellectuel ? 
Assurément,  mon fils !  Dans un monde en pleine accélération face à un mur,  un travail de menteur,  c’est ce qui gagne le mieux ! » 



 

 

 

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G
<br /> <br /> Monsieur,<br /> <br /> <br /> Vous ne cessez de marteler que : Le premier travail<br /> d’un journaliste est de se taire.  Son deuxième,  est de mentir ! <br /> <br /> <br /> Or, vous nous invitez à lire un travail sur Youri<br /> Gagarine largement étayer d'articles de journaux.<br /> <br /> <br /> Etrange<br /> <br /> <br /> <br />
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<br /> <br /> .<br /> <br /> Je ne vois pas où vous avez vu des articles de journaux dans mon texte.  Je vais le relire une nouvelle fois. <br /> En revanche,  les témoignages bidons de pseudo scientifiques,  payés au prix fort,   que j’ai retrouvé et que j’ai installé pour étayer mon texte démontrent que<br /> tous ces gens sont des imposteurs.  (Mis à part un, Bertrand Piccard, qui a entrevu l’imposture) <br /> Il n’y a rien dans leurs propos qui démontre quoi que ce soit. <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
X
<br /> L'exploit de Youri Gagarine est pour moi en même temps fascinant par sa réussite technologique pour l'époque et une immense tromperie : de peur que la FAI n'homologue pas son vol inaugural, les<br /> Soviétiques n'ont pas révélé tout de suite que Gagarine avait été éjecté de sa cabine en parachute avant de toucher le sol.<br /> Bertrand Piccard<br /> <br /> <br />
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